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3 mai 2013 5 03 /05 /mai /2013 20:45

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Dans l’après-midi du vendredi 03 Mai 2013, la Fondation Wurodini Service (FWS) a mené une activité de renouvellement de microcrédits AGR aux membres du groupe solidaire Hèrè Makono. Au nombre de cinq (5) personnes, dont quatre anciennes et une nouvelle, trois d’entre elles ont reçu chacune un microcrédit d’un montant de 100.000 FCFA, soit 152€, une des femmes a reçu 75.000 FCFA, soit 114€, et la nouvelle arrivé commence avec 50.000 FCFA, soit 76€.

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Elles étaient toutes heureuses de recevoir chacune son microcrédit qui leur permettra de continuer à développer leur AGR (Activités Génératrice de Revenus). La nouvelle arrivée du groupe qui en venant a oublié d’amener avec elle son contrat légalisé à la police, repassera plus tard pour recevoir son microcrédit après avoir remis son contrat dûment signé et légalisé. Avec cette nouvelle bénéficiaire, le programme de microcrédits AGR de la FWS a pu faire bénéficier à ce jour 193 personnes de microcrédits de développement des AGR situés entre 25.000 FCFA (38€) et 100.000 FCFA (152€) depuis son lancement en Juillet 2009. Avant de rentrer chez elles, les bénéficiaires ont adressé à Maman Louise SANOU leurs souhaits de meilleurs santé et l'assurer de leur soutien dans la prière.   

 

 Personne de contact :

Pasteur Samuel SANOU

Email : fondawuroser@yahoo.fr ; pastsamsanou@yahoo.fr

Blog : http://samlouiseministere.blogspot.com

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3 mai 2013 5 03 /05 /mai /2013 20:40

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En ce début de la saison des pluies, qui marque aussi le début de la campagne agricole 2013-2014, la Fondation Wurodini Service (FWS), dans le cadre de la mise en œuvre de son projet de programme intégré pour le développement agropastoral avec l’appui financier de SEL France, a mené une activité d’octroi de microcrédits de développement agricole à vingt-cinq (25) bénéficiaires de cinq (5) villages ce jour 03 Mai 2013 à Doufiguisso à 27km de Bobo-Dioulasso. C’est la salle de rencontre et d’alphabétisation à Doufiguisso qui a servi de cadre pour l’activité. Là se sont retrouvés dès 9h, les demandeurs de microcrédits de développement agricole, dont cinq par village, venus des villages de Santidougou, de Kékélesso, de Sala, de Panamasso et de Doufiguisso. Ceux du village de Tolotama ont été empêchés par un cas de décès et ont souhaité être programmé à une date ultérieure. Quant au village de Kouentou, qui fait partie des sept (7) villages de la zone du projet, pour l’instant la FWS n’a pas encore enregistré de demande de microcrédits en provenance de ce village. Chacun des vingt-cinq (25) bénéficiaires, des cinq (5) villages, a reçu un microcrédit d’un montant de 50.000 FCFA, soit 76€, pour s’acheter des semences, des intrants, des herbicides et des insecticides pour faire sa production agricole et développer son agriculture en vue de faire une meilleurs récoltes en fin de saison dans les spéculations diverses: Maïs, manioc, tomates, choux, arrachides, sézame, mil, sorgho, niébé, arrichot, coton, etc.

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Les bénéficiaires ont été impliqués dans le déroulement de l’activité d’octroie des microcrédits. L’équipe de la FWS a été assisté, pour la remise des fonds aux bénéficiaires, par le conseiller du village de Doufiguisso, Mr SANOU Jonas, qui faisait partie aussi des cinq bénéficiaires du village de Doufiguisso. Tous les 25 bénéficiaires étaient très heureux de pouvoir recevoir de la FWS ces microcrédits de développement agricole à des conditions qui leurs sont très favorables. En effet, la FWS a pris en compte la proposition des personnes ressources rencontrée en Décembre 2012, lors de la cérémonie de lancement du projet, et qui avaient proposé trois mois de différé pour les microcrédits agricoles ; le temps que les productions commencent à arriver à maturité et soit mis sur le marché pour la vente. Ainsi, la FWS a accepté accordé aux bénéficiaires des microcrédits de développement agricole, trois mois de différé de remboursement inclus dans les six mois de la durée totale du remboursement du microcrédit.

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C’est avec beaucoup de remerciements, expressions de reconnaissance, que les vingt-cinq (25) bénéficiaires ont arrosé l’équipe de la FWS, les chargeants de transmettre leurs remerciements au bailleur de fonds du projet qui grâce cet appui financier accordé à la FWS, a rendu possible la réalisation de ce projet Wurodinisso / Programme intégré de développement agropastoral qui vient apporter une réponse à leurs préoccupations et les accompagner dans leurs efforts de lutte contre la pauvreté pour l’amélioration de leurs conditions d’existence en milieu rural.

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GRAND MERCI à SEL France pour le soulagement qu’il apporte ainsi aux populations des sept villages de la zone du projet Wurodinisso basé à Doufiguisso, un des villages de la commune de Bobo-Dioulasso au Burkina Faso.

Personne de contact :

Pasteur Samuel SANOU

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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 16:07

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Jour trois (3) du séminaire de formation en entreprenariat rural de la FWS à Doufiguisso

 

La troisième journée, le jeudi 18 Avril 2013, du séminaire de formation en entreprenariat rural du projet Wurodinisso à Doufiguisso, a débuté avec une visite de terrain sur le site du projet où les deux formateurs, en agriculture et en élevage, ont pu faire des démonstrations pratiques pour communiquer et donner un modèle à suivre aux apprenants. Ils ont aussi pu répondre aux questions posés sur place par les apprenants. Cette visite a donné l’occasion d’expliquer aux apprenants de manière pratique comment faire un cordon pierreux pour lutter contre l’érosion et la dégradation des sols de productions agricoles. Ils ont aussi pu montrer comment il faut positionner son bâtiment d’élevage par rapport au soleil, aux vents et à la pluie. Et les types de grillages à mettre des deux côtés du bâtiment d’élevage. Ils ont aussi expliqué les avantages qu’il y a à faire l’élevage des poules de race locale ou de race améliorée ; surtout à cause de leur plus grande résistance aux bactéries et du coût moins élevé des charges. Les apprenants ont beaucoup apprécié cette visite de démonstration pratique sur le champ école et ont souhaité que cela soit répété le plus souvent possible pour leur permettre d’avoir le modèle à imiter pour faire leurs propres productions agricoles et d’élevage qui seront aussi des modèles dans leurs villages au sein de leurs communautés que d’autres pourront suivre pour développer leurs productions agricoles et d’élevage.

 

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Après cette visite de démonstration pratique sur le terrain, les formateurs et les apprenants sont retournés dans la salle de formation. Là un rappel a été fait pour les séances du jour précédent et s’assurer que les apprenants ont retenu quelque chose. C’est ainsi que la formatrice en agriculture, Mme BADO Fatimata a posé des questions aux apprenants et leur a demandé de dire ce dont ils se souviennent du 2ejour du séminaire de formation. Les réponses ont rassuré les formateurs qui ont ensuite entamé les points à traiter avec eux pour le 3e jour du séminaire de formation en entreprenariat rural. Les débats se sont d’abord focalisés sur les semences et les cultures :

-          Méthode de semis ;

-          Temps de semis ;

-          Choix des semences ;

-          Méthode de semis en ligne ;

-          L’utilisation de la fumure organique ;

-          La vente des récoltes ;

-          La conservation des récoltes…

 Ce sont là des points qui ont été développés par la formatrice en agriculture. Elle donné plusieurs autres conseils aux apprenants pour les aider à mieux produire pour répondre aux besoins alimentaire de leurs familles et à pouvoir vendre le surplus pour satisfaire aux besoins financiers des membres de la famille. Le cultivateur en début d’hivernage, doit évaluer les besoins de nourritures de sa famille sur l’année et faire son champ en fonction en y ajoutant ce qui est nécessaire pour la vente pour répondre aux besoins financiers de sa famille. Il faut aussi évaluer les forces vives de la famille, ceux qui peuvent travailler et combien d’hectare une personne peut cultiver dans l’année ; a poursuivi la formatrice dans son exposé. Elle a ajouté qu’on estime qu’une personne mange deux sacs de 100kg par an. Il faut donc en tenir compte lorsqu’on évalue la superficie de terrain cultivable disponible et voir la quantité de vivre qu’on peut y récolter. Il faut évaluer la quantité de fumure et d’intrants il faut y mettre pour augmenter la quantité des récoltes. En pratiquant l’élevage, on peut avoir de la fumure organique pour enrichir son champ. On peut aussi vendre les animaux ou la volaille pour avoir de l’argent et acheter de l’engrais. Il faut labourer le champ pour le rendre plus perméable à la pluie et permettre de garder plus longtemps la fraîcheur de l’eau de la pluie.                         Il y’a aussi de l’avantage à semer en ligne ; a ajouté la formatrice. Cela permet de mieux rentabiliser son champ. Ceux qui n’ont pas des bœufs de laboure peuvent creuser des trous pour les futures semis et y mettre de la fumure sur lesquels il faut semer au moment venu. Cela permet de rationaliser la fumure. Quand on n’a pas suffisamment de pierres pour faire des cordons pierreux, on peut faire ses cordons de lutte contre l’érosion des sols avec des mandes de deux mettre que l’on laisse sans labourer et y mettre les feuilles et les débris qu’on ramasse dans le champ pour les y mettre. Cela peut freiner la force de l’eau de ruissellement quand il pleut et l’empêcher qu’elle ne prenne de la vitesse. Il faut mettre les bandes en les espaçant de vingt-cinq (25) mètres. Pour la vente des produits, il faut éviter de vendre les produits lorsque les prix sont bas. Pour cela, il faut apprendre à être patient et attendre que les prix montent avant de vendre. Il faut aussi initier des banques de céréales villageoises.

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Ensuite ce fut le tour du formateur en élevage, Mr OUEDRAOGO Ibrahim, d’intervenir. En plus de son exposé du premier jour du séminaire de formation en entreprenariat rural, il a ajouté que l’élevage et l’agriculture vont ensemble. Les déchets des animaux servent à la fumure pour faire des cultures et les graines et les tiges des cultures servent à nourrir les animaux et les volailles. Il faut bien prendre soin des animaux, les soigner, les nourrir et les bien garder. Il faut s’associer pour faire venir le vétérinaire pour faire les soins préventifs afin d’éviter que l’animal ne soit malade et qu’il ne soit trop tard pour le soigner…

Après cette intervention, la formatrice en agriculture, Mme BADO Fatimata / Traoré, a demandé aux participants de prendre des résolutions qui seront noté et sur la base desquelles eux formateurs vont les suivre dans leurs villages et dans leurs champs de production, avec l’appui de la FWS, et faire l’évaluation de leur travail de production agropastorale. Les résolutions de quatorze participants ont ainsi été notées sur ce qu’ils comptent faire à la sortie de ce séminaire de formation dans le domaine de l’agriculture et dans le domaine de l’élevage.

 

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Ce fut des moments très enrichissant de voir le zèle et l’engagement que chacun a pris pour révolutionner positivement ses méthodes de productions et développer son agriculture et son élevage. La parole a ensuite été donnée aux apprenants et aux organisateurs du séminaire de formation en entreprenariat rural de donner leur impressions sur le déroulement et le contenu du séminaire. Ce fut des notes de pleine satisfaction qui ont été dites et des remerciements qui ont été prononcés tant du côté des apprenants à l’endroit des formateurs et de l’équipe du projet FWS que des du côté des organisateurs à l’endroit des formateurs  participants et des apprenants. C’est dans une ambiance de joie que le séminaire a pris fin après 14h et un repas a ensuite été servi pour le renouvellement des forces physiques avant que chacun des participants au séminaire ne reprennent la route de retour chez lui. Maman Louise était souffrante ce jour dans sa santé physique étant sous régime et traitement de soins curatifs; cependant elle réunit ses forces pour servir les participants au séminaire qui ont beaucoup apprécié ce repas. L’organisation de ce séminaire en entreprenariat rural  fut un réel succès au regard de l’impact qu’il a eu sur les apprenants et de l’effet que cela va produire dans leurs activités de productions agricoles et d’élevage et au sein de leur communauté dans leurs villages. GRAND MERCI à SEL France pour son appui financier qui a permis la réalisation de cette activité.

 

Personne de contact :

Pasteur Samuel SANOU,

Chef du Projet / Fondateur de la FWS

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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 20:36

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La deuxième journée du séminaire de formation en entreprenariat rural de la FWS à Doufiguisso

 

La deuxième journée du séminaire de formation en entreprenariat rural, le mercredi 17 Avril 2013,  fut animée par la formatrice en agriculture, Mme BADO / TRAORE Fatimata. Elle a commencé par demandé aux apprenants de faire un rappel de ce qu’ils ont appris la veille avec le formateur en élevage. Les participants ont brossé ce qu’ils ont retenu le premier jour du séminaire de formation. Ensuite la formatrice a demandé aux apprenants de dire leurs attentes du séminaire de formation. Deux attentes ont été exprimées :

1)      Apprendre pour améliorer les pratiques agricole et d’élevage ;

2)      Devenir leader dans le domaine de l’agriculture et de l’élevage ;

Un objectif commun a été retenu par les participants aux séminaires : Devenir entrepreneur en agriculture et en élevage.

La formatrice demandé aux apprenants de dire ce qui manque pour atteindre l’objectif exprimé. Deux manques essentiels ont été soulignés :

1)      Manque de formation ;

2)      Manque de connaissance.

La formatrice a demandé aux apprenants de lister les spéculations cultivées dans leurs villages. Les spéculations suivantes ont été mentionnées : arachides, manioc, maïs, mil, sorgho, tomates, haricot, etc.

La formatrice a demandé aux participants quelles sont les difficultés qu’ils rencontrent dans le domaine agricole de la semence à la récolte.   Les participants ont soulignés les difficultés suivantes :

1)      Manque de terre ;

2)      Insuffisance des pluies ;

3)      Manques de connaissances dans la pratique moderne agricole ;

4)      Manque des équipements agricoles ;

5)      Manque de moyens financier pour acheter de bonnes semences ;

6)      Terre peut riche ;

7)      Manque d’intrants,

8)      Difficultés de bonne conservation des récoltes d’haricot. 

 

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Ensuite la formatrice à donner des informations et des conseils pour répondre aux préoccupations des apprenants.  Elle a souligné notamment que :

-          Les insecticides pour le coton ne sont pas pareils que ceux pour des semences vivrières.

-          Au Burkina Faso, 90% de la population sont des agriculteurs.

-          Il faut faire la fumure organique pour nourrir nos sols et éviter qu’ils ne se dégradent.

-          Il est possible de faire la transformation du manioc en biscuits.

-          Il faut revoir la façon des semences.

-          Il faut régler la charrue.

-          Il faut faire des cordons pierreux à chaque 25m pour protéger les sols et éviter que l’eau des pluies ne courent trop vite sur les superficies d’exploitations agricole et n’emporte la terre, le fumier et l’engrais.

-          Il y’a aussi un type d’herbe qu’on peut semer de caler l’eau des ruissellements et la boue, pour éviter qu’elle ne soit emportée.     

-          Pour faire des cordons pierreux, il est nécessaire d’avoir un triangle à niveau.

-          On doit exploiter les sols en permettant aussi qu’ils puissent aussi régénérer. Il faut y laisser pousser de l’herbe  et des arbres.

-          Il faut faire le traitement des ravins avec un mur de pierre.

-          L’arachide et le haricot semés sur des sols pauvres, favorise l’azote et l’enrichissement du sol. Les débris de tiges manger par des termites produisent le même effet, joue le même rôle d’enrichissement de sol. C’est pourquoi il ne faut pas brûler les tiges après les récoltes. On peut aussi les ramasser pour en faire de la fumure organique

-          Pour espérer une bonne récolte, il faut mettre dans un hectare 5 tonnes, soit 30 chargements, de fumier, 2 MPK d’engrais et 1 sac d’urée.  

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C’est avec ces conseils donnés aux apprenants par la formatrice en Agriculture que la deuxième journée du séminaire de formation en entreprenariat rural a pris fin. Les participants sont retournés chacun  dans son village après le repas qui fut servi aux environs de 13h a été servis à tous les séminaristes. Avant de retourner à Bobo-Dioulasso, les formateurs ont fait un tour sur le site du projet où ils pu faire des observations pratiques pour nous aider à refaire notre cordon pierreux et d’éviter que l’eau n’emporte les pierres lorsqu’elles sont placées en ligne droite comme nous l’avons fait sans triangle à niveau et lorsqu’on ne place pas les pierres en position de foyer, trois-trois.

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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 01:37

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Activités de formation agropastorale de la FWS à Doufiguisso

 

La Fondation Wurodini Service (FWS), dans le cadre de la mise en œuvre de son projet Wurodinisso / Programme intégré de développement agropastoral à Doufiguisso, à 27km de Bobo-Dioulasso, grâce à l’appui financier de SEL France, a organisé, les 16, 17 et 18 Avril 2013 dans le dit village, un séminaire de formation en entreprenariat rural en faveur de vingt jeunes des sept villages bénéficiaires du projet. Treize (13) apprenants de cinq des sept villages et deux  (2) agents du projet ont pris part à la formation animée par les deux formateurs du projet agropastoral : Mr OUEDRAOGO Ibrahim pour le volet élevage et Madame BADO / TRAORE Fatimata  pour le volet agricole, tous techniciens chacun dans son domaine. Chaque journée du séminaire de formation fut introduite par un temps de prière pour confier la journée à Dieu et affirmer qu’Il est l’auteur de la vie et de tout ce qui existe dans la nature dont Il nous fait don pour en faire bon usage ; car capable de répondre à nos besoins, mais aussi nous de la préserver en pensant aux besoins des générations futures.   

 

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Premier jour du séminaire de formation en entreprenariat rural de la FWS à Doufiguisso

Le premier jour du séminaire, le mardi 16 Avril 2013, dès 8h30, plusieurs des apprenants étaient déjà arrivés au lieu de la rencontre, ainsi que le formateur en élevage, et ont pris place dans la salle de rencontres et d’alphabétisation de Doufiguisso, louée par la FWS pour servir de cadre de rencontres pour ses formations en attendant la construction des salles de formation sur le site du projet situé à l’entrée du village de Doufiguisso, en venant de Bobo-Dioulasso. Peu après 9h, heure prévue pour le début des formations, c’est Mr Ouédraogo Ibrahim qui, après avoir été introduit par le Chef du Projet, le Pasteur Samuel SANOU, pris la parole pour sa première journée d’intervention sur le thème du séminaire : « Entreprenariat en milieu rural ». Il a d’abord défini ce que c’est que l’entreprenariat avant de développer son sujet dans sur l’élevage qui est un domaine dans lequel on peut entreprendre. L’élevage est aussi une activité qui nous permet d’entreprendre en milieu rural pour produire, transformer et commercialiser. Il a demandé aux apprenants de lister les espèces élevées dans la région. Les espèces suivantes ont été énumérées : Bœufs, moutons, chèvres, poules, cochons. Le formateur a souligné qu’en entreprenariat, qu’il y’a des gens qui produisent, d’autres transforment et d’autres encore commercialisent. Dans le domaine de l’élevage, il a souligné que les gens manifestent de grands besoins de viandes en famille dans les villes et surtout lors des fêtes et en campagne il y’a des besoins d’animaux pour des sacrifices. Les besoins en volaille ou en animaux domestiques sont aussi grands pour l’exportation. C’est donc un domaine qui rapporte gros et qui a de l’avenir. L’élevage permet aussi de satisfaire les besoins en fumier pour faire de l’agriculture. De plus l’élevage n’a pas de saison ; il se fait à tout moment. Au village, nous avons de très grandes potentialités dans le domaine de l’élevage.

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Le formateur a ensuite demandé aux apprenants de dire les difficultés qu’ils rencontrent en élevage.  Les difficultés suivantes ont été soulignées par les apprenants : Les poules meurent au moment où elles commencent à produire ; la non vaccination des poussins et des poulets ; le manque de nourriture pour les porcs et la mort des porcs en hivernage ; la mort des bœufs en saison sèche. Le formateur a ensuite donné des conseils pour faire face à ces difficultés. Il a souligné que si les poules meurent, cela peut être dû à une insuffisance de nourriture, à l’insalubrité de leur lieu d’habitation, au manque de vaccination, etc. Quand les animaux sont vaccinés ils sont protégés. Il faut encourager ses voisins à vacciner aussi leurs animaux. Lorsque les poules sortent pour s’alimenter au dehors, c’est qu’elles sont sous-alimentées. Si elles manquent de vitamines, elles vont prendre des insectes qui peuvent les infecter. Le formateur a poursuivi en disant que lorsque les bœufs sont sous-alimentés aussi, ils meurent plus vite. Il a ajouté qu’en entreprenariat, c’est développer son sixième sens pour initier et développer des activités et y tirer profit. Quand tu n’as pas de grands rêves, tu ne peux pas avoir de grandes ambitions. La paresse ne paye pas en profit. Quand on est pauvre d’esprit, on ne peut pas progresser. C’est pourquoi, il ne faut pas se déclarer pauvre mentalement. Il ne faut pas s’attendre de l’autre pour se développer. Il faut exploiter et développer le peu qu’on a pour sortir du sous-développement et de la pauvreté socioéconomique. Il faut un changement de mentalité pour une meilleure lutte contre la pauvreté. Ensuite le formateur Ouédraogo Ibrahim a poursuivi son interpellation pour parler du rapport comportemental que l’éleveur doit avoir avec ses animaux. L’amour qu’on a pour notre animal est le même que l’animal a pour nous aussi. Le manque d’amour pour l’animal le tue… L’enfant qui est aimé s’épanouis mieux et est moins malade. Cela est aussi vrai pour l’animal. C’est avec ces conseils pratiques donnés par le formateur aux apprenants que la première journée de séminaire a pris fin. Elle fut divisée en deux temps séparés par une pause-café et clôturée par un repas que tous les participants ont très apprécié. Rendez-vous fut donné pour le lendemain pour la suite du séminaire de formation en entreprenariat rural.

 

 

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14 avril 2013 7 14 /04 /avril /2013 23:35

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Dans le cadre de la mise en œuvre du projet Wurodinisso, un programme intégré de développement agropastoral de la FWS (Fondation Wurodini Service), des activités du centre d’alphabétisation ouvert à Doufiguisso, un village de la commune de Bobo-Dioulasso, se sont bien poursuivis et arrive à leur terme et sur cinquante personnes inscrites au centre, quarante neuf étaient présente le vendredi 12 Avril 2013 et ont été soumise l'évaluation des connaissances qu'elles ont acquises. Les épreuves de cette évaluation ont été données par le service chargé de l’alphabétisation à l’inspection Bobo III de la DPEBA dont les agents ont effectués des visites de contrôle et de supervision du centre avant la séance d’évaluation. C’est les agents de la DPEBA de Bobo III qui vont faire les corrections des épreuves d’évaluation du Centre d’alphabétisation de la FWS à Doufiguisso et dont les résultats seront communiqués ultérieurement à l’équipe du projet de la FWS et aux apprenants du centre d’alphabétisation de Doufiguisso.

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Le Chef du projet a rendu visite aux apprenants du centre d’alphabétisation pour encourager les deux animateurs pour le travail  abattu avec assiduité et un réel dévouement pendant ces deux mois, depuis l'ouverture du centre d'alphabétisation, pour apprendre à lire, à écrire et à calculé en langue locale dioula aux apprenants inscrits au centre. Par sa présence au centre, les apprenants ont aussi été très encouragés et très heureux de recevoir de lui un rafraîchissement qu’ils ont préférer garder à la fin de la séance d’évaluation pour ce les partager. L’anxiété se lisait sur certains visages et d’autres étaient plus rassurés en faisant leurs épreuves d’évaluations.

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Tous étaient cependant très contant des connaissances acquises et chacun des quarante neuf apprenants pouvait le prouver en s’appliquant à faire dans le temps les épreuves d’évaluation. Il est évident qu’ils ont pris conscience que le chemin du développement sociale et économique passe par là ; c'est-à-dire savoir lire et écrire et pouvoir faire ses propres opérations de calcule pour tenir les livres de comptes financiers de ses activités.

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Nous avons ausi fait une visite sur le site du projet agropastoral où des cordons pierreux sont entrain d'être mise en place.

 

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12 avril 2013 5 12 /04 /avril /2013 11:41

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La Fondation Wurodini Service (FWS) a procédé le jeudi 11 Avril 2013, au renouvellement des microcrédits des membres du groupe solidaire Garizin pour le développement de leurs Activités Génératrice de Revenus (AGR). Au nombre de quatre bénéficiaires, deux d’entre elle ont reçu chacune un microcrédit d’un montant de 100.000 FCFA (soit 152 €) et les autres ont reçu chacune un microcrédit d’un montant de 75.000 FCFA (soit 114 €). L’une des femmes bénéficiaires étaient accompagnée de son mari. Sa présence fut un encouragement pour l’équipe des projets de la FWS.

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Chacune des bénéficiaires était très heureuse de recevoir ces microcrédits pour leur 4e tour, pour trois d’entre elles, et la quatrième pour son 2eme tour. C’est donc avec beaucoup de joie qu’elles sont retournées chez elles pour continuer à développer leurs AGR dans le domaine de la restauration, de la vente des pâtes d’arachides, de la vente du bois et de la vente de condiments.  

 

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1 avril 2013 1 01 /04 /avril /2013 00:49

 Paques-2013-au-Temple-Shalom-a-Bobo-Dioulasso-6720.JPG Paques-2013-au-Temple-Shalom-a-Bobo-Dioulasso-6618.JPG Paques-2013-au-Temple-Shalom-a-Bobo-Dioulasso-6677.JPG Paques-2013-au-Temple-Shalom-a-Bobo-Dioulasso-6655.JPG 

L’Eglise de l’Evangile Intégral de Colsama « Temple Shalom » à Bobo-Dioulasso a célébré dans la joie et l’allégresse la fête de Pâques 2013. Après le service de baptême qui a été organisé en prélude de la fête de Pâques à la rivière du Kou à Nasso le dimanche 24 Mars 2013, les activités de Pâques se sont poursuivies avec une journée de jeûne et de prière organisée le vendredi de Pâques pour commémorer la passion de Jésus-Christ de Gethsémané à la croix. A cette occasion, les membres de l’église se sont retrouvés au sein du temple, de 12h30 à 14h30 puis de 17h à 18h, pour lire des textes bibliques appropriés à la circonstance et prier. Cela fut des moments très édifiants co-dirigés par le Pasteur Samuel SANOU et son épouse Maman Louise SANOU. Le Samedi 30 Mars 2013, les fidèles de l’église se sont rassemblés au Temple Shalom pour la célébration du culte de la nuit de Pâques prévu de 19h30 à 22h30. C’est à 20h que le culte a commencé avec des moments de louange et d’adoration conduits par le groupe musical qui après céda la direction du culte au dirigeant du programme, le frère SANOU Sophony, qui fit la lecture du texte d’Esaïe 53 :1-10 suivi d’une prière introductive pour confier à Dieu le déroulement de ce culte d’expression de reconnaissance à Dieu pour avoir pourvu à notre moyen salut et de célébration à cet effet de cette nuit de la fête de Pâques sous sa direction et pour sa gloire ; « Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies. A peine mourrait-on pour un juste ; quelqu’un peut-être mourrait-il pour un homme de bien. Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. » (Romains 4 :6-8). Le programme c’est poursuivi avec des chants de louanges rendu au Dieu vivant et vrai et ces chants ont été présentés par les chantres du jour en français et en dioula avec la participation de l’assemblée, par les trois chorales de l’église, la chorale mixte, la chorale en dioula et la chorale des enfants, qui ont fait de très belles prestations par le groupe musical qui a comblée aussi de joie toute l’assemblée.  Des chants d’actions de grâce ont également été présentés par des personnes individuelles ou en groupe qui se sont fait programmé pour manifester leur joie à l’occasion de cette célébration du culte rendu au Dieu vivant et vrai, auteur de notre salut, qui par amour pour l’humanité perdu à fait don de son Fils Unique et bien-aimé pour être le sacrifice expiatoire en rançon pour la rémission de nos péchés. Les enfants de l’école du dimanche ont mimé l’évènement de la crucifixion de Jésus-Christ. Les différents chants présentés étaient aussi plein de sens et très édifiants. Un temps a été consacré pour inviter l’assemblée à prier et intercéder en faveur de la paix pour la Nation et en faveur de la sagesse de Dieu pour les autorités qui nous gouvernent... (Pour lire la suite: http://aeeibf.blogspot.com/#!/2013/03/celebration-de-la-fete-de-paques-2013.html )  

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 22:08

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La Fondation Wurodini Service (FWS) a procédé ce mardi 12 Mars 2013 à une redistribution de microcrédits à trois membres du groupe Mougnou, dont deux sont à leur 4e tour et 1 à son 2e tour, pour le développement de leurs AGR. Les femmes du 4e tour ont reçu chacune 100.000 FCFA (équivalent de 152€) et l’autre du 2e tour a reçu 75.000 FCFA (équivalent de 114€). Elles étaient toutes heureuses de recevoir ce fonds qui leur permettra de continuer à développer leurs activités génératrices de revenus, pour augmenter leurs recettes, pour mieux s’occuper de leur famille et, pour mieux s’épanouir en toute dignité au sein de leur communauté. Elles ont remercié l’équipe de la FWS pour leur disponibilité à continuer à les servir en les appuyant dans leurs efforts de lutte contre la pauvreté.

 

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9 mars 2013 6 09 /03 /mars /2013 23:11

Mariage-de-Noel-et-Hortense-SANOU-6360.JPGMariage-de-Noel-et-Hortense-SANOU-6410.JPG  Mariage-de-Noel-et-Hortense-SANOU-6349.JPGMariage-de-Noel-et-Hortense-SANOU-6354.JPG Mariage-de-Noel-et-Hortense-SANOU-6342.JPG Mariage-de-Noel-et-Hortense-SANOU-6373.JPG Mariage-de-Noel-et-Hortense-SANOU-6393.JPG 

Le Samedi 9 Mars 2013 j’ai, Pasteur Samuel SANOU, été invité par le Pasteur de mon village, Pasteur SANOU Olivier, à aller célébrer un mariage à l’église de Doufiguisso. Il s’agissait du mariage de SANOU Noël et de SANOU Hortense, tous deux du village de Doufiguisso. Maman Louise m’a accompagné à cette cérémonie. Nous sommes arrivés peu avant 14h30. La cérémonie quant à elle ne commença que vers 15h30. La population du village est sortie très nombreuse pour venir honorer de sa présence cette cérémonie de mariage. Plusieurs invités sont venus des villages voisins et de Bobo-Dioulasso pour être aussi présents. Le village de Dafinso était particulièrement représenté à ce mariage, notamment à travers une forte délégation de l’église de la Mission Apostolique du dit village conduite par son Pasteur, un homonyme à moi, SANOU Samuel, originaire aussi comme moi du village de Doufiguisso. C’est ce dernier qui a eu la charge d’apporter la prédication de la Parole de Dieu à l’occasion de cette cérémonie de mariage. La mariée avait passé quelques mois de préparation au mariage auprès du couple Pasteur de l’église de Dafinso. C’est aussi ce qui explique la présence de la forte délégation venue de Dafinso pour accompagner la jeune mariée et honorer de leur présence la cérémonie de mariage. Mariage-de-Noel-et-Hortense-SANOU-6382.JPG Mariage-de-Noel-et-Hortense-SANOU-6406.JPG Mariage-de-Noel-et-Hortense-SANOU-6352.JPG Mariage-de-Noel-et-Hortense-SANOU-6371.JPG Mariage-de-Noel-et-Hortense-SANOU-6357.JPG Mariage-de-Noel-et-Hortense-SANOU-6390.JPG Mariage-de-Noel-et-Hortense-SANOU-6374.JPG

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A l’occasion, l’église de Doufiguisso fut agrandie avec un hangar dressé à sa devanture pour accueillir la foule. Les mariés, les officiants, les invités, les chorales et les musiciens et les anciens d’église furent reçus à l’intérieur du temple. Un balanfonliste fut spécialement invité de Bobo-Dioulasso pour venir accompagner les chants de louange. L’effervescence était très grande et cela s’exprimait par des cris de joie et des danses. Après les premiers chants, la présentation des invités et des parents des mariés, le message de la prédication de la Parole de Dieu suivi. C’est après cela que j’ai eu la charge et le privilège d’officier la célébration du mariage dans l’église qui fut couronnée par la prière de bénédiction du collège des Pasteurs présents à la cérémonie de mariage.

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Après cette célébration, chants et danses ont poursuivi, puis des informations ont été communiquées sur la réception de mariage et enfin la prière de fin de cérémonie dans l’église. Ce fut un joyeux mariage. Heureux ménage au jeune couple Noël et Hortense SANOU. Amen !      

 

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