Concernant Jésus-Christ, l’Evangéliste Matthieu dit dans la Bible : « Jésus parcourrait toute la Galilée , enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume, et guérissant toute maladie et toute infirmité parmi le peuple » (Matthieu 4 :23)
Cette décision de retrait a été prononcée par le Président de l'EAC/BF lors de la rencontre entre le Pasteur Samuel SANOU et les membres du Comité Exécutif National de l'EAC/BF le Jeudi 23 Juillet 2003 au Temple Béthel et cela malgré les supplications du Pasteur Samuel SANOU de le laisser poursuivre son ministère dans ces deux églises locales qu'il a implanté et aidé à se développer pour y accomplir la vision que Dieu lui a mis sur le coeur. Pourtant, le Président qui prononce cette décision de retrait et qui envoie le Comité de District de Bobo-Dioulasso exécuter la décision le dimanche 26 Juillet 2009, dans l'exercice de sa carrière Pastorale dans le même District de Bobo-Dioulasso avait lui-même déjà refusé deux fois de suite d’être affecté d’une église dont il n’était même pas le Père Fondateur au moment où le Pasteur Samuel SANOU était Président du District de Bobo-Dioulasso, pour la première affectation, et il n'a fini par accepter la deuxième affectation, quelques années plus tard, que parce que cette deuxième affectation présentait de meilleurs avantages pour lui à comparer à ce qui le retenait dans l’église où il avait refusé de bouger sans être inquiété et il avait continué à servir dans l’EAC/BF et dans le District de Bobo-Dioulasso sans être chassé de force ni de son église, ni de l’Eglise de l'Alliance Chrétienne du Burkina Faso comme il le fait pour le Pasteur Samuel SANOU aujourd'hui qui est dans ses droits de refuser une deuxième mutation arbitraire. Lui qui a jouis de toutes les grâces et bontés du Pasteur Samuel SANOU pour venir exercer son ministère pastoral dans le District de Bobo-Dioulasso, aujourd’hui c’est lui qui chasse de force ce dernier, qui est son collègue et son aîné dans le ministère, non seulement d'une église dont le Pasteur Samuel SANOU est le Père Fondateur mais aussi de l’EAC/BF en lui fermant toutes possibilités d'exercice son ministère Pastoral au sein de l'EAC/BF et c'est pour cela que cette crise a été créé, c'est pourquoi la réponse du Pasteur Samuel SANOU du 12 Juillet 2009 et ses supplications du 23 Juillet 2009 n'ont pu l'empêcher de faire exécuter sa décision comme si le Pasteur Samuel SANOU n'avait pas droit à la même clémence qu' il lui a accordé pour lui permettre de poursuivre son ministère dans le District de Bobo-Dioulasso et d'acceder à des positions de responsabilités dans le District de Bobo-Dioulasso et au sein de l'EAC/BF et aussi comme s'il avait oublié la triste histoire des évènements survenus dans son propre district d'origine où des mauvais traitements infligés à un Pasteur avaient conduit, à l'époque, à une séparation, voir même à une scission de ce District et de toutes ses églises de la direction de l’EAC/BF pendant plusieurs années et ce District n’est revenu au sein de l’EAC/BF qu’au moment où le Pasteur Samuel SANOU était Président de l’EAC/BF; à moins pour lui de faire semblant d'ignorer l'histoire pour vouloir faire répeter de tels évènements dans le District de Bobo-Dioulasso et c'est pour cette raison il a choisi la voie de la force pour empirer la crise au lieu d'opter pour la négociation; pistes qui étaient très largement ouvert au niveau du Pasteur Samuel SANOU et tous ceux qui l'ont approché dans le soucie d'une véritable recherche de solution ne diront pas le contraire. Alors pourquoi créer et envenimer une crise qui ne s'explique pas? Pourquoi ne pas tirer leçon du passé pour éviter de commettre les mêmes erreurs déjà commis par d'autres? Et même dans le cas du District de Nouna où c'était une scission de tout un district de l'EAC/BF, cela n’avait jamais été assimilé à une quelconque démission de Pasteurs de l’EAC/BF quoique c’étaient plusieurs Pasteurs et plusieurs églises d’un District. Et les Responsables de l'EAC/BF à cette époque n'ont pas forcé de retirer ces églises de ces Pasteurs sous prétexte qu'elles appartiennent à l'EAC/BF et traiter ces Pasteurs d'avoir démissionné comme cela est entrain de ce passer aujourd'hui pour retirer de force du Pasteur Samuel SANOU deux églises pour l'implantation desquelles, notamment la première en 1990, pour laquelle lui et son épouse ont transiré du sang jusqu'en 1996 avant de la voir se developper et totalement oublié de l'EAC/BF qui a refusé de les accompagner dans cette oeuvre d'implantation d'une nouvelle église et qui leur a rétiré même tous les avantages déjà acquis dans leur carrière. Pourtant, tout un District, celui de Nouna, qui s'est séparer de l'EAC/BF à une époque, l’EAC/BF n’a-t-elle pas attendu, avec un seul Pasteur de ce District qui restait sous sa tutuelle dans ce District à l'époque et cela autant d'années que cela fut necessaire pour que ce District et ses églises reviennent à l’EAC/BF lorsque les moments furent favorables ? Pourquoi alors aujourd’hui ce sont les Responsables de l’EAC/BF, au plus haut sommet, qui se rendent responsables de troubles en créant une crise au sein d’une église paisible pour s'en servir comme stratégie, pour retirer cette église de son Père Fondateur, chasser ce dernier de cette église en l’empêchant de d'adresser aux membres de son église et de dire la vérité sur les faits à ses brebis et même en ne lui permettant pas de leur dire aurevoir et comme arme de stratège déclarer sans aucun fondement que ce Pasteur a démissionné de l’EAC/BF pour arriver ainsi à amener ses brebis qu’il aime et qui l’aime aussi à se dresser contre leur berger qui les a conduit pendant vingt ans, et ainsi à les contrainde à rester dans le rang, que les responsables de l'EAC/BF viennent leur imposer et les obliger à accepter les deux nouveaux bergers qu’ils leur imposent aussi et ainsi atteindre les fins tant recherchés parce cette conspiration qui perdure depuis 2003 au sein des instances décisionnelles du District de Bobo-Dioulasso et de l’EAC/BF et qui a amené l’EAC/BF à poser plusieurs actes de traitements injustes contre le Pasteur Samuel SANOU pour lesquels aucune réparation n’a été faite, et pour le comble, les Responsables de l’EAC/BF, après tous les dépouillements déjà opérer depuis 2005, le dépouillent de l’église même dont il est le Père Fondateur et pour l’implantation de laquelle l’EAC/BF n’a rien apporter pour accompagner le Pasteur Samuel SANOU pour amener cette église à atteindre son développement. Au contraire elle lui a coupé tous ses soutiens au moment où cette église n’avait que huit jours !!! Pourquoi les Responsables de l’EAC/BF dépouillent le Pasteur Samuel SANOU de l’église qu’il a implanté sans leur accompagnement et qui l’emploi en lui assurant salaire et sécurité sociale alors que ce sont les mêmes responsables qui l’ont dépouillé de ses droits de pouvoir bénéficier de l’indemnité d’Ancien Président de l’EAC/BF sous prétexte qu’il n’a pas droit à deux traitements au sein de l’EAC/BF pourtant certains de ses collègues ont deux, trois et même quatre traitements au sein de l’EAC/BF; et pire, au moment de la décision de lui refuser son indemnité d'Ancien Président de l'EAC/BF le 1er Avril 2006 et de continuer à donner celui de son prédecesseur, le Président de l’EAC/BF jouissait de quatre traitements et refuse d’être détaché parce qu’il ne veut perdre aucun de ses avantages déjà acquis? Ces responsables qui refusent de marcher eux-mêmes selon les textes qui les gouvernent, se donnent du plaisir à chasser au sein de l’EAC/BF le Pasteur Samuel SANOU et le dépossède de tout alors que ce dernier a toujours fait l’effort d’observer les textes et son refus d’être détaché de son église ne peut nullement être assimilé à une désobéissance puisque cela était officiellement connu de tous les membres et Responsables de l'EAC/BF à quelque niveau que ce soit depuis Mars 2005 suite au texte taillé sur mesure pour l’obliger à choisir entre son église et la fonction de Président de l’EAC/BF. Et l’autre Pasteur qui est Professeur Permanant à l’Institut Maranatha et inscrit par ce service à la CNSS pour sa sécurité sociale et qui normalement, selon les textes qui régissent ce service, n’avait pas droit à avoir une église locale en charge, encore moins d’être Président d’un District, ce dernier se fait le plaisir d’accumuler toutes ces trois fonctions sans être inquiété, ne fait rien pour permettre au Pasteur Samuel SANOU de retrouver sa place à ses côtés au sein du corps professoral de l’Institut Maranatha comme vacataire, et pire, c’est lui qui a peine quatre mois de son élection à la fonction de Président du District de Bobo-Dioulasso s’acharne sur le Pasteur Samuel SANOU pour lui retirer de force les deux églises locales dont il est le Père Fondateur et qui l’emploient et lui assurent une sécurité sociale, comme l'Institut Maranatha assure pour lui. Pour se donner le plaisir ou pour satisfaire à qui, il met en péril la carrière professionnel du Pasteur Samuel SANOU tout en protégeant pour lui-même. Pourtant ces affectations forcés qu'il fait la priorité de son mandat ne figure nullement dans le programme d'activités approvée par le collège des Pasteurs du District de Bobo-Dioulasso le 1er mai 2009 et adopté par l'Assemblée Générale Extraordinaire du District de Bobo-Dioulasso le 15 mai 2009. N'est-ce pas l'évangélisation et l'implantation de nouvelles églises qui doit être la priorité de toute église qui obéit aux Saintes Ecritures et de tout responsable d'église ? Et c'est le modèle que le Pasteur Samuel SANOU a légué au District de Bobo-Dioulasso après ses dix sept ans passés à la direction du District de Bobo-Dioulasso à la fonction de Président de District; ce qui a contribué à donner une expansion extraordinaire à ce district que nul ne peut remettre en cause puisque la presque totalité des Pasteurs du District de Bobo-Dioulasso sont le fruits de son ministère et plusieurs d'entre eux sont même ses fils spirituels car convertis à Jésus-Christ par son ministère et nourris spirituellement par lui et reçu leur vocation sous son leadership.
Chose étonnante, pendant que les gens qui ont été éclairés par la lumière de l’Evangile Libérateur de Jésus-Christ se laissent envahir par les ténèbres, pour un temps, parce que obsédé par l’envie de déposséder pour posséder, pendant ce temps des non chrétiens du quartier qui connaissent l’histoire de l’implantation et du développement de l’Eglise Evangélique de Colsama « Temple Béthel » et qui ont été les observateurs des actes de lumière et de la puissance de Dieu au cours des vingt ans de ministère du Pasteur Samuel SANOU et son épouse dans le quartier, plusieurs d’entre eux viennent leur exprimer de la sympathie, dire des témoignages sur les actes de Dieu comme s’ils étaient des chrétiens, apporter des encouragements, des paroles de consolations, des bénédictions et même des proclamations de foi en un Dieu que nous pensons qu’ils ne connaissent peut-être pas parce qu’ils ne se sont pas convertis à Christ. Très paradoxalement, ce sont ces gens qui n’ont pas connu la lumière de Christ que Dieu envoie pour rendre témoignage de la grande lumière et de la puissance du Dieu vivant et vrai qu’ils ont vu agir à travers le ministère du Pasteur Samuel SANOU et son épouse dans le quartier de Colsama à Bobo-Dioulasso et disent être convaincu que ce Dieu que ce couple Pasteur sert depuis plusieurs années ne s’aurait les abandonner car disent-ils « Dieu est juste, il vous défendra, il continuera à vous guider, à vous bénir, à faire grandir la nouvelle église et faire honte à l’ennemi ». C’est vrai que Dieu peut faire susciter des cailloux pour glorifier son nom quand ceux qui doivent le faire refusent de lui rendre gloire et honneur.
Et si le Pasteur Samuel SANOU est toujours tenu pour un vivant, les Responsables de l'EAC/BF en refusant à lui et a sa famille toute ration de survie semblent être bien décidés de les voir disparaître de la face de la terre car même si son église n’avait pas de fond l'EAC/BF n’a pas le droit de les obliger à faire grève de faim, en les privant de salaire, de droits et de tout autres soutiens de survie, pour mourir ou d’accepter une deuxième mutation arbitraire. C’est qu’il est déjà considéré comme mort d’où l’oubli total fait sur la personne sa lors de cette cérémonie d’installation sans même l’inviter pour venir dire un au revoir aux membres de son église qu’il a servi pendant vingt ans. Rien n’a été dit sur la situation de crise non plus ni sur le devenir du Pasteur Samuel SANOU et sa famille. Les Responsables de l’EAC/BF prennent possession des biens et largue dans la rue dans un dénuement total celui qui a travaillé durement pour les acquérir. Dès Août 2009, ils ont arrêté de lui payer son salaire alors que tous les autres Pasteurs ont reçu leur traitement du mois d’Août avant de rejoindre leurs églises d’affection pour ceux qui ont demandé d’être affecté ou qui ont cédé à la pression. Les Responsables de l’EAC/BF dépossèdent le Pasteur Samuel SANOU du fruit de ses vingt ans de ministère et refuse de lui payer ses droits liés à sa carrière professionnel de Pasteur employer par l’Eglise Evangélique de Colsama qu’il a implanté et qui lui assurait son salaire et qui l’a inscrit à la CNSS pour assurer sa retraite. Les Responsables de l’EAC/BF en lui arrachant contre son gré l’Eglise Evangélique de Colsama, malgré son refus clairement exprimé par sa réponse du 12 Juillet 2009 qui devait les amener à revoir leur décision, ne lui verse aucun dédommagement pour lui permettre de poursuivre son ministère ailleurs ni même un soutien de survie. Eux qui assurent des salaires à des Pasteurs qu’ils mettent sous discipline pour les éviter de périr ainsi que leur famille, et des indemnités à leurs Anciens Présidents pour leur être reconnaissant, sauf au Pasteur Samuel SANOU dont l’indemnité avait déjà été arrêtée en Mars 2006, et de nouveau en lui retirant l’église qu’il a emplanté, les Responsables de l’EAC/BF refusent au Pasteur Samuel SANOU et à sa famille d’avoir droit à aucun soutien de la part ni de l’église qu’ils lui ont retiré de force, ni du District de Bobo-Dioulasso, ni de l’EAC/BF, pour leur permettre d’acheter eau et nourriture pour continuer à vivre et d’avoir la lumière dans leur maison. Le bien serait-il récompensé par le mal ? Sinon, quel mal d’aussi grave le Pasteur Samuel SANOU s’est-il rendu coupable pour ne même pas avoir droit à un soutien de survie lui et sa famille de la part de l’Eglise de l’Alliance Chrétienne du Burkina Faso que lui et son épouse ont servi honorablement pendant vingt sept ans ? Même le Prophète Jérémie dans la Bible jeté en prison ou dans la citerne pour ses prophéties de vérité, avait eu droit de bénéficier de l’eau et du pain de la part de certains des responsables du peuple qui n’ont pas voulu se rendre complice de la mort d’un prophète qui parle au nom de l’Eternel. Que serait devenu le Pasteur Samuel SANOU et sa famille depuis fin Juillet 2009 au moment où l’EAC/BF lui retire l’église qu’il a implanté et qui lui assure son salaire sans ne lui laisser aucun sou si le Dieu de la Bible qui a toujours été fidèle pour son serviteur et sa famille n’avait envoyé ses anges pour leur apporter du secours pour les éviter de mourir d’une mort programmée par l’Homme. Les Responsables de l’EAC/BF ne se sont s’intéressés qu’au fruit des vingt ans du ministère du Pasteur Samuel SANOU dans l’église qu’ils lui retirent de force et manifestement ils n’ont plus besoin de lui ; comme une orange qu’on jette lorsqu’on a fini de la sucer. Et c’est le 18 Octobre 2009 que l’EAC/BF convoque une Assemblée Générale de l’Eglise du Pasteur Samuel SANOU qu’elle lui a arraché de force pour informer officiellement les membres et leur lire la réponse du Pasteur Samuel SANOU du 12 Juillet 2009 qui est loin d’une démission de sa part, argument qui avait été mis au devant pour amener les membres à accepter les deux nouveaux Pasteurs que l’EAC/BF leur imposait sans explication aucune sauf de dire à ceux qui posent des question que le Pasteur Samuel SANOU a démissionné sans pouvoir leur montrer ou lire la fameuse lettre de démission. Cette lettre lu en présence des deux nouveaux Pasteurs déjà installés et en l’absence du Pasteur Samuel SANOU qui l’a écrit et a qui, non seulement on l’a empêché de la faire lire à son assemblée le 26 Juillet 2009, mais de nouveau on ne l’invite même pas pour venir répondre aux questions éventuelles liées au contenu de sa lettre que son assemblée à le droit de se poser et ce sont des bébés qui se donnent le droit de dirent qu’eux savent tous de sur le comment leur grand-mère, pardon, leur mère est née et ceux qui en savent quelque chose, gardent le silence ; tellement ils ont servi d’appui à l’EAC/BF pour leur permettre de mener leur opération de retrait de l’Eglise du Temple Béthel de la direction du Pasteur Samuel SANOU comme si le départ du Pasteur Samuel SANOU de l’Eglise Evangélique Colsama « Temple Béthel » donnait à eux le droit de devenir des Pères et des Mères d’une église qui reste leur mère sinon qu’ils ont tout simplement le même âge qu’elle car tous sont nés de part son existence ou moment des activités d’évangélisation de son implantation et d’autres y sont venus attirés par l’élan de son développement. Et, que viennent faire les responsables du District et de l'EAC/BF le dimanche 26 Juillet 2009 pour occuper la chaire du Pasteur Samuel SANOU alors que le Pasteur SANOU avait clairement dit aux membres du CEN de l’EAC/BF lors de leurs rencontre du Jeudi 23 Juillet 2009 de 22h au petit matin du vendredi 24 Juillet 2009 à 1h du matin, que puisqu’ils refusent d'accepter ses supplications de le laisser poursuivre son ministère dans l’Evangélique de Colsama « Temple Béthel » qu’il a implanté sans leur accompagnement, et puisqu’ils refusent d'amener sa proposition au Comité de District de Bobo-Dioulasso alors qu'ils ont affirmé être venus comme des médiateurs, il leur interdit donc de venir semer du désordre dans son église en venant tenter le dimanche 26 Juillet 2009 de le déposséder de l'église qu'il a implanté sans bénéficier de l'accompagnement de l'EAC/BF, comme ils projettent de venir le faire, et il les invite à respecter les closes et le contenu de sa réponse du 12 Juillet 2009 puisqu’ils ne sont pas prêts à revenir sur leur décision et se sont joints au Comité de District de Bobo-Dioulasso pour le chasser de l’EAC/BF. Les biens de l'Eglise Evangélique de Colsama "Temple Béthel" appartiennent à l'EAC/BF dans la mesure où le Pasteur Samuel SANOU son Père Fondateur est accepté au sein de l'EAC/BF. Si le CEN de l'EAC/BF le chasse de l'Eglise de l'Alliance Chrétienne du Burkina Faso, alors il devra aussi renoncer aux biens de l'Eglise Evangélique de Colsama qui sont le fruit des vingt ans du ministère du Pasteur Samuel SANOU et son épouse dans cette église. Le Pasteur Samuel SANOU avait été très claire avec le CEN de l’EAC/BF. Les autorités de l'EAC/BF qui n'ont pas respecter cette volonté clairement exprimé par le Pasteur Samuel SANOU et sont venus retirer de force l'église qu'il a implanté et dirigé pendant vingt ans ont agit dans un flou car ils ne peuvent affirmer si leur volonté de muter de force le Pasteur Samuel SANOU est fait pour satisfaire à un souhait exprimé par le Comité de l'Eglise Locale de Colsama et à quel moment ou si c'est sont eux qui ont des fins à atteindre et ont demandé au Comité de l'Eglise Locale de Colsama de les aider à atteindre leur objectif de chasser le Pasteur Samuel SANOU de l'EAC/BF en lui retirant l'église pour laquelle il a renoncé en mars 2OO5 à la fonction de Président de l'EAC/BF lors de l’apogée de la première conspiration où un article avait été taillée sur mesure pour lui retirer cette église. Etait-ce un voeux partagé au niveau de tous les acteurs du réseau? Dieu seul sait et la conscience de chacun des acteurs de cette deuxième phase de la même conspiration qui cette fois est à l’apogée de son apogée à la satisfaction sans doute des commanditaires qui ne seront jamais connus par le profane, pardon, par le fidèle non averti, comme dans un système politico-religieux. Dieu sait tout et est seul juge et personne ne peut échapper à son jugement. Quant à l'histoire, elle retiendra les faits que nul ne peut nier, même si elle ne peut dire et expliquer les vrais mobiles qui ont conduits aux faits car seuls les acteurs avertis et les commanditaires sans doute caché à l’ombre les mobiles qui les amènent à organiser une telle conspiration et à entretenir sur des années pour atteindre leurs fins. En effet cette conspiration déclenchée depuis Février 2003 a sans doute atteint cette fois-ci son objectif tant recherché à la satisfaction de l'ennemi de l'oeuvre de Dieu. Certes on peut manger du miel retiré du cadavre d’un lion, mais il faut faire attention de ne pas manger le miel et les abeilles à la fois et aussi savoir qu’un tel miel qui donnera sans aucun doute la force, prépare aussi celui qui l’a mangé à faire tourner les meules pour produire suffisamment de farine pour nourrir ceux qui sont vraiment au commande du système; sinon il risque bien de voir ses yeux créver d'une certaine manière à l'exemple de Samson dans la Bible. Il est aussi vrai que lorsqu'une armée se défait de ses génauraux en temps de paix, c'est que les jeunes soldats se sentent assez capables de conduire les combats en cas de guère. Sinon au moment venus, ils seront obligés de leur faire appels sinon que d'avoir l'humilité de leur demander conseils Pour le Pasteur Samuel SANOU, il croit que Dieu est plein de grâce et aussi capable de transformer le mal en bien comme Il l’a fait pour Joseph et ses frères dans la Bible, et comme Il l'a déjà fait pour eu en Novembre 1988 et Juin 1990 pour transformer le mal et sortir du néant l'Eglise l'Eglise Evangélique de Colsama "Temple Béthel" devenu aujourd'hui une grande église mère florisante et objet de convoitise et de conflit pour qu'on y chasse son Père Fondateur pour la posséder et la diriger. Le Pasteur Samuel SANOU croit que si Dieu permet cette situation qui se termine par une séparation, Il permettra qu’elle contribue à l'avancement de son oeuvre et à une plus grande expansion de l'Evangile de Jésus-Christ non seulement au Burkina Faso, mais aussi à travers le monde à la grande surprise et à la tristesse de l'ennemi de l'oeuvre de Dieu. Certes, c’est dans un dénuement total que les Responsables de l’Eglise de l’Alliance Chrétienne du Burkina Faso largue dans la rue le Pasteur Samuel SANOU et son épouse comme certains de leurs Pères l’avaient déjà fait en 1990 et cela malgré toutes ses interpellations contenues dans sa réponse du 12 Juillet 2009. Eux en décidant de marcher dans leurs pas semblent vouloir faire pire que les précédents comme pour dire au couple Pasteur Samuel et Louise SANOU, « cette fois, vous ne vous en sortirez pas. Vous mourez et disparaîtrez pour du bon… ! » Mais, le Pasteur Samuel SANOU et son épouse croient que s’ils ont été ressuscités par une main invisible qui les a empêcher de succomber à la première mort programmée par l’Homme en Juin 1990, ils sont certains aussi que cette main invisible est toujours là et si elle permet une deuxième mort programmée par l’Homme pour eux de nouveau depuis le 26 Juillet 2009, « tout en sachant que l’être humain ne meure qu’une seule fois… », c’est que cette main invisible du Tout-puissant, sera encore là et est toujours capable d’opérer une deuxième résurrection d’une deuxième mort programmée par l’Homme et non par Dieu et ainsi permettre au Pasteur Samuel SANOU et à son épouse, même dans un âge avancé d’accomplir ses œuvres, celles du Dieu Tout-puissant révélé en Jésus-Christ, qui seront plus grandes que les premières pour permettre à ce Dieu invisible mais vivant et vrai, de montrer que c’est Lui le Tout-puissant, l’Alpha et l’Oméga, qui détient le dernier mot en tout, le Créateur de tout l’univers et lorsqu’Il parle et agit, l’être humain ne peut que s’incliner et reconnaître sa Majesté. De nouveau, assurément, Il leur permettra de travailler à l’expansion de l’Evangile libérateur de Jésus-Christ ; non pour implanter une ou deux églises, mais bien plus selon le bon plaisir de son cœur et avec les moyens qu’Il mettra à leur disposition, n’a déplaise à l’ennemi qui ne peut rien contre l’avancé de l’œuvre du Tout-puissant. Dieu est fidèle en ses promesses et dans son alliance avec ses bien-aimées. Parfois Il peut permettre une situation qui parait très dramatique qui nous arrive qui en fait n’est qu’un de ses instruments pour ouvrir une porte qui conduit à ce que Dieu a de meilleur pour nous. Le Pasteur Samuel SANOU et son épouse s’attendent à Dieu qui s’aura les guérir intérieurement des blessures causées par cette rupture brutale avec ceux qu’ils aiment et qui les conduira a avancer avec lui à une rencontre certaine d’un meilleur futur dans son service qui ne fait sans difficultés car le vrai ennemi c’est le Diable mais il est déjà vaincu par la résurrection de Jésus-Christ d’entre les et qui partage sa victoire avec nous. Ils savent aussi que toute chose au bien de ceux qui aiment Dieu. Que Dieu peut permettre une situation à vue humaine dramatique, mais qui est fait est pour lui un moyen pour ouvrir la porte pour lui de nous permettre d’avoir accès à ce qu’Il a de meilleur pour nous. Ils restent confiant en lui, pour qu’Il les aide toujours à avoir le courage d’exprimer et de défendre leurs convictions profondes même quand ils savent que cela doit se faire contre une majorité convaincu qu’il faut vivre en harmonie avec soi-même et non être un suiviste dépourvu de toute volonté et de toute conviction. Certes il y’a un prix chère à payer pour affirmer ses convictions profondes. Ils veulent continuer à oser pour Dieu et travailler à la réalisation des rêves qu’Il met sur leur cœur pour contribuer à l’avancement de son œuvre dans ce monde en s’appuyant sur la force et les promesses de notre Seigneur Jésus-Christ. Ils savent que le Dieu de la Bible est capable de remédier à notre dépouillement et peut nous combler à nouveau. On peut nous dépouiller de tout, même de notre vie, mais on ne peut nous dépouiller de l'essentiel, notre intimité avec Dieu. On ne peut nous retirer la vie éternelle que nous avons en Jésus-Christ. Cette certitude est suffisante pour donner la force de continuer à servir autrement ce Dieu qui nous a aimé en son Fils bien-aimée Jésus-Christ qui a donné sa vie pour nous sauver. Lui, n'abandonne pas ceux qui viennent à lui. Il comble à tout dépouillement. De plus son champ où Il envoie ses disciples pour le servir est immense et il y'a plein d'endroits toujours incultes qui attendent les ouvriers du Seigneur pour labourer et récolter la moisson pour lui. Son champ, c'est le monde entier et là il y'a toujours de la place pour chacun de ses serviteurs qui veulent le servir sérieusement. C'est pour cela que le Pasteur Samuel et son épouse Louise ont décidé d'avancer pour fixer leurs regards aux besoins des âmes à sauver et à les mettre sur la voie de l'éternité avec Dieu. Et les âmes perdues sont partout sauf dans les églises déjà établie. Pour cette cause du salut des âmes perdues, même si le Pasteur Samuel SANOU et son épouse devaient y laisser leur vie, ils savent qu'ils tomberont les armes à la main au service de Celui qui est entièrement digne d’être écouté, obéit et servi. A lui seul soit la gloire dès à présent et pour l’éternité. Amen! C’est pourquoi, le Pasteur Samuel SANOU et son épouse ont décidé d’avancer pour une nouvelle avanture de la foi avec Dieu comme, Abraham lorsque Dieu l'appelait de quitter son pays pour aller dans un autre pays qu'Il lui indiquerait, pire, comme Jacob parti avec son seul bâton à la main pour traverser le fleuve en fuite de devant son frère Esaü, pire encore que lui, comme Joseph vendu par ses frères comme esclave en Egypte. « Notre Egypte, c’est le monde ! Partout où Dieu rendra cela possible, nous allons y faire briller la lumière de l’Evangile libérateur et intégral de Jésus-Christ qui est vivant, toujours le même, et pleinement suffisant » tel est le credo du couple Pasteur Samuel et Louise SANOU qui croient que rien n’est impossible au Dieu révélé dans la Bible, qui prend plaisir de confondre les forts par les faibles et de prendre les choses viles de ce monde pour confondre les grands. C'est en comptant sur ce Dieu révélé dans la Bible que nous connaissons par la personne de Jésus-Christ, son Fils bien-aimé, que le Pasteur Samuel SANOU et son épouse Louise tout en comptant tout en reconnaissant leur limites ont décidé d'avancer malgré la peine que cette rupture d'avec un ministère florissant leur cause, de continuer à faire pleinement confiance en Dieu qui sans aucun à de meilleurs plans pour les faire entrer dans un meilleur dévenir qui leur apportera une pleine consolation. Merci de les porter par vos prières et de les accompagner dans leur nouvelle avanture de foi avec Dieu.
Ordre Suprême de Jésus-Christ dans la Bible :
« Jésus, s’étant approché, leur parla ainsi : Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde » (Matthieu 28 :18-20).
« Cette bonne nouvelle du Royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. C’est pourquoi, lorsque vous verrez l’abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, établir en lieu saint, que celui qui lit fasse attention ! » (Matthieu 24 :14,15).
« Mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre »; Actes 1 :8).
Proclamation de l’Apôtre Pierre dans la Bible et réponse : « Jésus est la pierre rejeté par vous qui bâtissez et qui est devenue la principale de l’angle. Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. Lorsqu’ils virent l’assurance de Pierre et de Jean, ils furent étonnés, sachant que c’étaient des hommes du peuple sans instruction ; et ils les reconnurent pour avoir été avec Jésus » (Actes 4 :11-13).
Pour prendre contact avec le Pasteur Samuel SANOU écrivez à l'adresse suivante:
Pasteur Samuel SANOU,
01 BP 3035 Bobo-Dioulasso 01
Burkina Faso
Tél (226) 20 97 61 57
Cel (226) 70 22 91 06
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